Miharu Okami Ooguri

IDENTITY.
« abyssal werewolf »




MIHARU OKAMI OoGURI.


« Promenons-nous, dans les bois… Pendant que le loup n’y est pas… Si le loup y était, il nous mangerait… »

NOM COMPLET :
Miharu Okami Ooguri.

NOM :
Ooguri.

PRÉNOM :
Miharu.

SURNOM :
Le Poison.


ÂGE :
16 ans.

DATE DE NAISSANCE :
31 octobre 1991.

SIGNE ASTROLOGIQUE :
Scorpion.

SEXE :
Féminin.

ORIENTATION SEXUELLE :
Bisexuelle.

GROUPE SANGUIN :
A+

GROUPE :
--

HISTOIRE :


« Je n'ai pas d'histoire,
pas de passé, ok ? Alors viens pas me faire chier pendant que
je pionce ! »

« 19 Juillet 1991.. »

Dans les montagnes de Kôga, un
gardien veille. Une immense villa montagnarde siégeait dans
les montagnes. De multiples bourgeois s'étaient installés
sur la terrasse, et discutaient de l'heureux événement
qui venait de se produire. Non, ce n'était pas une assemblée
rassemblée pour un mariage, mais la naissance de la fille de
deux riches Yakuza, les Ooguri. En ce jour naquit Miharu. Il faisait
sombre, l'orage grondait, mais, à l'abris sous la terrasse,
les bourgeois richement vêtus continuaient à discuter du
cadeau qu'ils avaient acheté pour la petite. Les Ooguri
étaient de riches trafiquants d'armes, très réputés
dans le domaine des Yakuza pour effectuer leurs plans diaboliques et
illégaux proprement sans laisser de trace, et d'offrir de leur
fortune aux riches et non aux pauvres. En ce jour, ils allaient avoir
leur premier enfant. Ils auraient espéré un garçon
bien bâti et sournois qui pourraient leur succèder avec
triomphe, ils ont une mieux que ça. Ils ont eux le « Poison ».
Celle qui deviendrait plus tard Miharu, le Poison qui contamine la
joie et la gaieté, qui n'apporte que la malheur et la
tristesse. La cannibale Ooguri, la terrifiante Yakuza, mais la si
attirante Miharu. Sur un balcon sortit une domestique qui tenait
Miharu dans ses bras. Elle la leva vers le ciel et la présenta
à l'assemblée. Les bourgeois frémirent de joies
et se précipitèrent dans la villa pour leur offrir
leurs multiples cadeaux.

« 31 Octobre 2001.. »

Cela faisait à présent
dix ans que le « Poison » était né.
Insupportable petite teigne, elle faisait néanmoins le bonheur
de ses parents qui n'auraient espéré mieux. Mais c'est
en soir d'Halloween que Miharu deviendra la pire créature qui
soit, la cannibale Ooguri. Dans la villa avaient été
installés toutes les décorations nécessaires à
Halloween, les mêmes bourgeois toujours présents
discutaient sur la terrasse, et Miharu jouait avec leurs enfants
dansle jardin. « Jouaient ? » On savait déjà
que Miharu était diabolique et tyrannique, qu'elle aimait
faire peur et mal aux autres enfants. En ce soir, ses plans
dépassèrent tous ce qu'ils avaient été
jusqu'à présent. Habillée en sorcière,
elle invita ses « amis » à venir jouer
dans sa chambre à un jeu plus intéressant. Ils étaient
six au total.


« C'est Halloween
aujourd'hui, c'est une nuit à fantômes.. une nuit à
meurtres.. une nuit à tortures ! » avait-elle
prononcé d'une voix effrayante. Pendant que ses camarades
tremblotaient dans leur coin, Miharu sortit de la chambre pour se
rendre au grenier. Elle avait commandé à ses parents
pour cadeau d'anniversaire de cette année des vrais
instruments de torture de l'époque de l'Inquisition. Elle
sortit seulement son petit tabouret remplis de piques et de clous (
ces derniers rajoutés par Miharu pour donner plus de fun aux
expériences ). Le jeu était donc de tenir le plus
longtemps possible sans se trouer le cul, et bien entendu, Miharu
avait pris un réel plaisir à s'asseoir dessus. Quatre
de ses camarades ne tinrent pas plus de quinze secondes, le record
détenu par la Ooguri était de trente. Mais une de ses
camardes tint plus d'une minute. Accablée par la rage de
perdre, elle l'empêcha de sortir de la chaise. Bientôt,
le sang de la petite dégoulinait sur le plancher. Au bout
d'une minute trente, elle libéra enfin la petite martyre, qui
se précipita vers ses parents pour aller se plaindre en
pleurant. Personne ne blâmait les Ooguri. Ceux qui le faisaient
finissaient au tapis. Les parents de la petite ne se plaignairent
point et envoyèrent leur fille à l'hôpital.
Surréaliste, n'est-ce pas ? Dans un monde aussi noir, tout est
possible. Vers minuit, lorsque tout le monde était parti et
que les parents étaient occupés à se saoûler
dans le salon, Miharu remonta dans sa chambre et vit que le sang
n'avait pas été nettoyé. Elle allait appeler une
domestique, lorsqu'une idée lui vint. Elle se mit par terre,
le renifla, et jugea son odeur plutôt alléchante. Elle
se mit à le boire jusqu'à la dernière goutte.
Elle en voulait encore. Miharu s'en prit donc à la première
domestique venue, qu'elle acheva avec un couteau de cuisine. La
pauvre petite.. Complètement dérangée. Le plus
étonnant, c'est qu'elle ne se limita pas au sang de sa
victime, elle entreprit de la manger. Que c'était bon..

TRAITS PHYSIQUES :

Physiquement, Miharu n'est pas bien
menaçante, sûrement en raison de sa taille extrèmement
moyenne et de son poid-plume anormal. Complexée par ses
mensurations, elle n'hésite pas à foutre une beigne à
qui l'emmerde sur ce sujet. Son corps est plutôt frêle,
mais pas au point d'avoir la peau sur les os, comme certains
étudiants se plaisent à la nommer. Son enveloppe
charnelle est néanmoins bien façonnées, et ses
courbes sont attirantes ; en revanche, une abscence de poitrine
omniprésente ne peut faire que renforcer sa colère à
l'égard de son corps mutilé. En effet, la demoiselle se
mutile, et pas qu'un peu. Elle déteste son corps, c'est l'une
des choses qu'elle ne peut pas supporter, et ce sujet est tabou chez
elle. Pour oublier ce poid qui ne la satisfera jamais, elle se
scarifie, se mutile, et qu'importe le nom que vous attribuez à
la chose, Miharu aime le faire et ne s'en lasse pas. De ses épaules
jusqu'à ses pieds, des ecchymoses en tous genres ; dont des
brûlures, des entailles, des rougeurs et des hématomes ;
recouvrent la totalité de sa peau bariolée par ces
infâmités. D'ordinaire, sa peau devrait être
blanche, d'une pâleur lunaire inexpliquée à ce
jour, une peau qui attire le regard, une peau qui pourrait rendre
fière. Mais Miharu en a décidé autrement : son
corps sera son esclave, et pas l'inverse. A présent, passons à
son visage, son visage angulaire, affichant la plupart du temps une
expression froide et dédaigneuse. C'est la seule partie de son
anatomie qui ne soit pas scarifiée, regard des autres oblige.
La peau est restée intacte et lisse, immaculée. Son nez
est pointu et assez grand, mais cette particularité ne se
révèle pas être un fardeau ; bien au contraire,
ça donne à son visage une expression inquètante
que la Ooguri se plait à arborer. Sa bouche est plutôt
petite, il n'y pas grand chose d'intéressant à dire
dessus, ci se n'est que ses dents sont blanches et bien soignées.
L'oeil de Miharu, quant à lui, est la partie la plus
importante de son visage : grand, tirant plutôt sur une forme
rectangulaire, sa couleur est irréprochable aux yeux des
autres gothiques de Rêverie : noir et froid, catégorique.
Quand on se plonge dans ce regard, on ne peut plus s'en détacher,
on est comme.. hypnotisés. Noir comme l'abîme, comme un
gouffre opressant, noir comme la mort. Mais pourquoi donc
exprimais-je cette couleur au singulier, et ne parle que d'un oeil ?
Parce que l'autre oeil de Miharu, le droit, est caché par une
sorte de bandeau de pirate noir, et je ne vous conseille pas
d'essayer de le soulever : Miharu est borgne. Son oeil droit est
blanc et gélatineux, recouvert de petis vaisseaux sanguins, et
très traumatisant. Autre partie importante de la tête de
Miharu : ses cheveux. Ils sont mi-longs, souvent ramenés en
une sorte de chignon sur le derrière de la tête,
laissant quelques mèches rebelles lui retomber sur les yeux.
Deux grosses fleurs roses pâles artificielles y sont
accrochées, ainsi qu'un serre-tête épineux dont
les épines s'enfoncent dans sa tête et donne à sa
chevelure naturellement bleue foncée des mèches rouges
sang. Son propre sang. Vestimentairement parlant, Miharu est assez
trash, cela dépasse même le gothique traditionnel :
vêtements anciens et médiévaux lacérés,
déchirés, à multiples dentelles et froufrous.


TRAITS CARACTERIELS :

Le caractère de Miharu.. toute
une histoire. Croyez-moi, ce n'est pas une partie de plaisir de
l'exprimer. Commençons déjà par souligner une
particularité importante : Miharu est cannibale. Elle boit du
sang, mange des cadavres. Répugnant, n'est-ce pas ? Le pire,
c'est qu'elle ne boit et mange que ça ; on dit même
qu'elle a déjà fait une sorte de braquage de cimetière
pour son repas de midi ! Ses goûts culinaires n'étant
appréciés que par elle, et ne fréquentant pas
le restaurant scolaire, elle mange toujours toute seule, et on se
demande bien comment son corps peut tenir le coup après avoir
ingurgité des infâmies pareilles. Infâme.. voilà
bien un mot qui la résumerait. Ce n'est qu'une gitane, une
déliquante, dont les cours sont pour elle une véritable
perte de temps. Claustrophobe, elle a besoin d'être souvent
dehors, et emploie ce prétexte pour aller faire des conneries
et des coups bas avec les rares personnes qui acceptent de la
fréquenter. Chiante, elle n'aime personne et fait chier tout
le monde. Elle aime traîner avec les pires garnements de
son village, et les « Kawaii Girls » la
répugnent plus que tout. Seuls les gothiques sont à
l'abris de son jugement ; elle les considère comme sa seule
famille, comme les seules personnalités qui méritent
son respect. Les gothiques ont uen vision de la vie qu'elle partage
totalement, c'est pourquoi elle a accepté de se glisser au
sein de ce groupe qui ne lui correspond qu'à moitié.
Les autres filles ne faisant pas partie du groupe des gothiques sont
des pétasses, des plastiques qui se la pètent à
longueur de temps et qui ne pensent qu'à aguicher des garçons
inaccessibles. Les autres garçons, quant à eux, sont
des idiots prépubères et inintéressants, qui
mériteraient la mort. Sentimentalement parlant, il se trouve
que Miharu ne soit pas si froide qu'elle en a l'air, et qu'un garçon
du groupe des gothiques retienne particulièrement son
attention. Mais qui est ce garçon ? Vous le devinerez par vous
mêmes, et le découvrirez peut être un jour... Vis
à vis de ses « amis » gothiques, elle
est tolérante et aime à les écouter parler. On
peut dire que tous les gothiques sont ses amis, car elle se permet
même de les prendre dans ses bras, de les toucher et de les
embrasser si ils le désirent. Sans sa « famille »,
elle n'est plus grand chose : l'abscence ou la souffrance d'un
gothique la rend folle de rage et lui donne des pulsions meurtrières.
Avec les profs, c'est une autre histoire : elle ne désire que
leur mort, un point c'est tout? Après tout, ils ne sont là
que pour la faire chier, non ? Pauvre Miharu. Oui, pauvre Miharu.
Cette vision des autres contamine constamment son entourage, on
pourrait croire que quand elle est là, les oiseaux vont
s'arrêter de chanter, les rivières s'arrêter de
couler, le monde s'arrêter de tourner, la vie s'arrêter
de vivre. Miharu est un poison. « Poison »,
c'est son surnom premier. Un vulgaire poison qui vit du malheur des
autres. Contagieuse, on l'approche rarement, et ça ne déplaît
pas forcément à Miharu, une adepte de la solitude. Pour
conclure dans la tristesse et la mauvaise humeur, disons «
Âmes sensibles, s'abstenir ! »

TECHNIQUES :

On verra quand j'aurai choisi mon village.